trans oFF 2005 - [ANNULE, manif samedi à 15H]

Citation :

Korn'g Héol a écrit:
Korn’g Heol, l’Union des Sound-Systems de l’Ouest, tire la sonnette d’alarme à 15 jours des Transmusicales de Rennes.

Une déclaration de rassemblement de type « Free Party » en parallèle des Transmusicales a été déposée le 8 novembre dernier un mois avant sa tenue comme l’impose la loi. Or, il ressort de l’entrevue avec la préfecture que le terrain gracieusement prêté par la Ville de Rennes ne semblerait plus convenir cette année contrairement à 2001. Nous concédons que quelques aménagements de ce terrain peuvent être à envisager, mais qu'en qualité d’amateurs, nous ne pouvons engager par avance des frais qui ne pourront être recouvrés que le moment venu grâce à la donation effectuée sur place. Nous précisons aussi que le terrain jouxtant celui-ci utilisé en 2003 pourrait être adéquat pour toutes les parties à condition de procéder à un échange entre ceux-ci.

Compte tenu de l’inertie des services concernés, et ce, malgré nos relances, nous insistons sur la concertation rapide et nécessaire entre les associations organisatrices que nous représentons et les services compétents de la mairie et de la préfecture. Nous nous devons de prendre les devants en amont de la manifestation afin qu'un accord puisse s'établir rapidement sur la mise en place d’un dispositif adéquat, sous peine de devoir faire face au dernier moment à d’éventuels problèmes de sécurité lié au rassemblement de milliers de personnes.

Si nos buts sont purement artistiques et festifs, et outre le fait que ce rassemblement entre parfaitement dans la nouvelle politique ministérielle qui est de favoriser les événements régionaux, nous nous permettons de rappeler que cette manifestation est sûrement aussi à même de canaliser les énergies débordantes de la jeunesse Rennaise et Bretonne, surtout dans le climat actuel.

Korn'g Héol.

samedi 26 novembre 2005
Rave : la préfecture refuse le terrain
En l'état, le site de la Prévalaye est jugé trop dangereux

Archives Ouest-France


La préfecture a annoncé, hier, qu'en l'état actuel, le terrain proposé par la mairie de Rennes pour la rave-party prévue en marge des Trans Musicales ne répond pas aux exigences de sécurité.
Les organisateurs se refusent de leur côté à sécuriser les lieux sans garantie d'autorisation de la manifestation. La rave-party aura-t-elle lieu ?
Le maire de Rennes, Edmond Hervé, avait annoncé, le 25 octobre, qu'il mettait à disposition un terrain, au lieu-dit Le Pré-Namet, sur le site de la Prévalaye, pour l'organisation d'une rave-party en marge des Trans Musicales, du 8 au 10 décembre.
Un collectif de sound systems, Korn'g'Heol, a déposé un dossier en préfecture le 7 novembre.
Tout semblait bien parti. Or voici que les choses se compliquent.

Le dossier a été examiné par les services de l'Équipement, les pompiers, les gendarmes et la police.
Tous ont rendu un avis défavorable.
À cela plusieurs raisons, qu'a détaillées, hier, le directeur de cabinet de la préfecture, Stéphan de Ribou.
« Le terrain est une prairie spongieuse où les voitures s'enfonceront.
Il n'y a que deux accès au site et il est traversé par des tranchées de 80 cm de large pour 1 m de profondeur qui le compartimentent. »

Le directeur de cabinet craint qu'on ne puisse pas maintenir un accès pour les secours.
Il juge le terrain, qui fait environ dix hectares, « trop petit pour accueillir 15 000 à 20 000 personnes, ce qu'annoncent les organisateurs ».
Il note également la présence de riverains « au ras du terrain proposé », qui se trouve, en outre, en limite du périmètre de sécurité d'un point de captage d'eau alimentant Rennes.
Tout près également, les étangs d'Apigné, qui représentent pour la préfecture « un réel danger.
Dans sa configuration actuelle, le terrain ne se prête pas à l'organisation d'une rave ».

Lundi 14 novembre, des représentants du collectif ont été reçus en préfecture.
L'État leur a notifié les travaux à engager pour sécuriser le site et les a enjoints de se concerter avec la municipalité. Dans un communiqué, ils indiquent « qu'en qualité d'amateurs, nous ne pouvons engager par avance des frais qui ne pourront être recouvrés » que si la rave a effectivement lieu.
Edmond Hervé avait d'abord souligné, dans un courrier daté du 18 novembre, qu'au regard de la loi « il n'appartient nullement au maire d'apprécier la conformité des terrains, encore moins de rendre celle-ci effective. »
Hier, la mairie indiquait que la situation n'était pour autant pas figée.
« La ville a fait des propositions d'aménagement, notamment en termes de sécurisation des accès. » Et de rappeler que la rave de 2001 s'était tenue sur ce terrain même.

On comprend bien le coût politique que pourraient avoir, pour la municipalité, les débordements en centre-ville qui ne manqueraient pas d'avoir lieu si la rave était interdite.
D'aucuns soupçonnent la préfecture de jouer la montre.
Plus tard la rave sera autorisée, moindre sera l'afflux de teuffeurs.
En tous les cas, Stéphan de Ribou le répète, « la préfète ne réquisitionnera pas un autre terrain ».

Aurélie LEMAÎTRE.

source rennes.maville.com

samedi 26 novembre 2005
Rave : la préfecture refuse le terrain
En l'état, le site de la Prévalaye est jugé trop dangereux

Archives Ouest-France


La préfecture a annoncé, hier, qu'en l'état actuel, le terrain proposé par la mairie de Rennes pour la rave-party prévue en marge des Trans Musicales ne répond pas aux exigences de sécurité.
Les organisateurs se refusent de leur côté à sécuriser les lieux sans garantie d'autorisation de la manifestation. La rave-party aura-t-elle lieu ?
Le maire de Rennes, Edmond Hervé, avait annoncé, le 25 octobre, qu'il mettait à disposition un terrain, au lieu-dit Le Pré-Namet, sur le site de la Prévalaye, pour l'organisation d'une rave-party en marge des Trans Musicales, du 8 au 10 décembre.
Un collectif de sound systems, Korn'g'Heol, a déposé un dossier en préfecture le 7 novembre.
Tout semblait bien parti. Or voici que les choses se compliquent.

Le dossier a été examiné par les services de l'Équipement, les pompiers, les gendarmes et la police.
Tous ont rendu un avis défavorable.
À cela plusieurs raisons, qu'a détaillées, hier, le directeur de cabinet de la préfecture, Stéphan de Ribou.
« Le terrain est une prairie spongieuse où les voitures s'enfonceront.
Il n'y a que deux accès au site et il est traversé par des tranchées de 80 cm de large pour 1 m de profondeur qui le compartimentent. »

Le directeur de cabinet craint qu'on ne puisse pas maintenir un accès pour les secours.
Il juge le terrain, qui fait environ dix hectares, « trop petit pour accueillir 15 000 à 20 000 personnes, ce qu'annoncent les organisateurs ».
Il note également la présence de riverains « au ras du terrain proposé », qui se trouve, en outre, en limite du périmètre de sécurité d'un point de captage d'eau alimentant Rennes.
Tout près également, les étangs d'Apigné, qui représentent pour la préfecture « un réel danger.
Dans sa configuration actuelle, le terrain ne se prête pas à l'organisation d'une rave ».

Lundi 14 novembre, des représentants du collectif ont été reçus en préfecture.
L'État leur a notifié les travaux à engager pour sécuriser le site et les a enjoints de se concerter avec la municipalité. Dans un communiqué, ils indiquent « qu'en qualité d'amateurs, nous ne pouvons engager par avance des frais qui ne pourront être recouvrés » que si la rave a effectivement lieu.
Edmond Hervé avait d'abord souligné, dans un courrier daté du 18 novembre, qu'au regard de la loi « il n'appartient nullement au maire d'apprécier la conformité des terrains, encore moins de rendre celle-ci effective. »
Hier, la mairie indiquait que la situation n'était pour autant pas figée.
« La ville a fait des propositions d'aménagement, notamment en termes de sécurisation des accès. » Et de rappeler que la rave de 2001 s'était tenue sur ce terrain même.

On comprend bien le coût politique que pourraient avoir, pour la municipalité, les débordements en centre-ville qui ne manqueraient pas d'avoir lieu si la rave était interdite.
D'aucuns soupçonnent la préfecture de jouer la montre.
Plus tard la rave sera autorisée, moindre sera l'afflux de teuffeurs.
En tous les cas, Stéphan de Ribou le répète, « la préfète ne réquisitionnera pas un autre terrain ».

Aurélie LEMAÎTRE.

source rennes.maville.com

rho...les bastards

mardi 29 novembre 2005

Rave : un pas important de la mairie

La Ville accepte d'aménager le terrain qu'elle a proposé à la Prévalaye
La rave-party en marge des Trans Musicales n'est pas encore totalement condamnée (ici celle de 2003). La ville de Rennes est prête à faire les travaux nécessaires à la Prévalaye.Archives David Ademas
La préfecture a annoncé, vendredi, que le terrain proposé par la mairie pour l'accueil d'une rave-party en marge des Trans n'était pas conforme aux exigences de sécurité. Hier, Edmond Hervé a fait savoir que la municipalité était disposée à faire les travaux nécessaires. La rave pourrait donc avoir lieu.

Le terrain de la Prévalaye, mis à disposition par le maire de Rennes pour l'organisation d'une rave-party, a été, dans un premier temps, jugé inadapté par les services de la préfecture. Le directeur de cabinet de la préfecture, Stephan de Ribou, avait fait savoir vendredi que, sans aménagement du terrain en matière de sécurité, il ne serait pas délivré d'autorisation pour la tenue de cet événement.

Korn'g'Heol se voyait donc opposer un refus (provisoire ?) à sa candidature à l'organisation de ce rendez-vous techno. Le collectif de sound-systems n'ayant pas les moyens d'assurer le coût des travaux, la balle était donc dans le camp de la mairie, propriétaire du terrain.

Hier après-midi, la Ville de Rennes a fait porter à Bernadette Malgorn une lettre dans laquelle il est indiqué que le maire s'engage à réaliser, sur le terrain mis à disposition à la Prévalaye, une grande partie des aménagements nécessaires (comblement des tranchées, réalisation d'accès, etc.). La préfecture va donc revoir les organisateurs dans le courant de la semaine.

« C'est un pas important, mais tout n'est pas réglé pour autant, car il reste des points importants à préciser, comme l'organisation des secours notamment », indiquait-on, hier soir, du côté de la préfecture. La porte des négociations n'est pas complètement fermée et la rave-party, jugée indispensable par les responsables municipaux pour éviter les débordements de l'an passé en centre-ville, pourrait donc avoir lieu.

« Jusqu'au bout, les discussions peuvent se poursuivre », assure-t-on en préfecture. Le compte à rebours est néanmoins lancé. Les Trans Musicales ont lieu les 8, 9 et 10 décembre au Parc-expo de Rennes-aéroport. Le temps presse...

E.R.C.

Pitin merci eric ! Tu suits ! Je souhaite a tous ceux qui y seront que ce tekos soit memorable de son magnifique !

sons déjà confirmés :

Kornok
Epsylonn
Muskatek
Korrils
Acolytes
Récréacircus
C-Kel
Peacemakers
Art Maniac
Recrea Circus
Fest noiz
Otoktones
Tdu
Radiation sound sytem
Cirksons
Ball-Mutek
PSY.K.D.LIK
La perche Bretonne
Mad Armada
Ink
NKzic
Kohorts
Les Korrigans
Les affranchis
Cyclopes Hypnoides
Amigos
Systeme de Poche
A6t
Kartek
Diaouls
Tribal Bass
Nawak

j'connais personnne

Flaca a écrit:

j'connais personnne

comment ça, à oui, c'est surtout des sons bretons ou du nord, c'est pour ça.

moueeeh... ou parce que je bouge pas beaucoup

Flaca a écrit:

moueeeh... ou parce que je bouge pas beaucoup

ça doit etre ça

je veux y allééééééééééééé....mes bretons d'Amours....LooOl....j'arrive...

underground a écrit:

je veux y allééééééééééééé....mes bretons d'Amours....LooOl....j'arrive...

La même, 2 ans déjà sans trans, ça fait lonnnnnnnnnnnnngtemps

mardi 6 décembre 2005
La rave des Trans encore en suspens
La préfecture exige des garanties pour les secours et l'hygiène

En 2001, la rave s'était déroulée sur le même terrain, alors réquisitionné par la préfecture.David Adémas

L'organisation d'une rave en marge des Trans Musicales, ce week-end, à Rennes, est incertaine. Le maire a bien proposé un terrain, mais la préfecture estime que les normes de sécurité ne sont pas respectées. Hier soir, après une dernière négociation, le collectif des musiciens était dans le flou. Réponse jeudi.
L'an dernier, elle n'avait pas eu lieu. Des milliers de teufeurs s'étaient rassemblés pendant trois jours dans le centre de Rennes. Bilan : une trentaine de vitrines explosées, un manège saccagé et des affrontements entre CRS et jeunes. Cette année, la rave, organisée en marge des Trans Musicales, est dans une impasse. Une fois encore, la mairie de Rennes et la préfecture n'arrivent pas à trouver un terrain d'entente.

La préfète, Bernadette Malgorn, avait d'abord défini la règle : une seule rave en Bretagne, autorisée par les services de l'État. Carnouët a déjà eu lieu en juin. Donc pas question de s'occuper de celle des Trans en décembre. Le maire Edmond Hervé fait alors un premier pas, le 7 novembre, en offrant un terrain à la Prévalaye, là où la rave avait déjà eu lieu en 2001. Un collectif de sound system, Korn'g'Heol dépose un dossier en préfecture. L'affaire semble bien partie.

Le 25 novembre, patatras ! La préfecture fait savoir que les garanties de sécurité ne sont pas remplies. Gendarmes, policiers, pompiers et l'Équipement ont rendu un avis défavorable. « Le terrain est une prairie spongieuse où les voitures s'enfoncent, précise Stéphane de Ribou, directeur de cabinet. Il est traversé par des tranchées de 80 cm de large et d'un mètre de profondeur. Les accès manquent pour les secours. »

Edmond Hervé, le maire de Rennes, réagit rapidement et annonce qu'il va faire des travaux. Les tranchées seront comblées, promet le maire, et les accès seront facilités. Mais ça ne suffit pas. La préfecture reproche aux organisateurs de ne pas avoir pris contact avec les associations concernées par la sécurité... « La mairie a fait un pas, estime la préfète. Les organisateurs doivent en faire autant. » En clair, il faut monter un dossier impeccable pour l'eau potable, l'organisation des secours, les toilettes, l'hygiène...

« Problème de finances »

C'est pourquoi, une table ronde a réuni, hier, la Croix-Rouge, les pompiers, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), des membres de Korn'g'Heol... Les pompiers déplorent de ne pas disposer d'interlocuteur vraiment identifiable puisqu'il s'agit d'un collectif et non pas d'une association. « La rave est une affaire de responsabilités partagées. Nous ne pouvons pas porter seuls un tel événement, confie un membre de Korn'g'Heol. Et le problème des finances se pose aussi. Les services de secours ne sont pas gratuits. »

Les organisateurs ne demandent pas une entrée payante à chaque participant. Les finances reposent sur un don volontaire des teufeurs. Nul ne peut prédire quelle sera la recette de la rave. Mais l'espoir n'est pas tout à fait éteint. « C'est 50-50, estime l'un des représentants du collectif. Les services de la préfecture m'ont conseillé de laisser mon portable branché. Mais la réponse officielle tombera jeudi. »

Les chances d'une rave, version légale, existent donc mais la prudence est de mise. Prévoyants, gendarmes et policiers ont monté trois dossiers : « rave autorisée », « rave interdite » et « rave sauvage ».

« Les organisateurs ne pourront pas offrir les garanties suffisantes en si peu de temps », pronostiquait, pessimiste, l'un des acteurs. Quand la réponse tombera jeudi, les teufeurs, qui viennent de toute la France, auront en grande majorité déjà mis le cap sur Rennes.

on y vas ?

mais si voyont il y a les nawak mes cher amis du hardcore underground!!!!

broke a écrit:

mais si voyont il y a les nawak mes cher amis du hardcore underground!!!!

yeeeeeesssssssss hardkooooooooooore

Bon, c'est annulé, arrété prefectoral à l'appuie, ça va encore etre le bordel à Rennes ce week end.

http://www.rennes.maville.com/actu/Detail.asp?prov=BKN&idDOC=268134

vivement la manif a strasbourg en avril 2006 je crois parce ke la ça dégénére fo se faire entendre.fuck sarko.

clair ver2tek...ils nous prennent vraiment pour des bouffons...on annule ci...on reporte ça....on trouve des problèmes par ci...et des pseudo solution par là....alors on vas se mettre a cramer des caisses nous aussi...on nous donnera peut etre un peu de crédibilité....

Bonjour underground! Peut être qu'avec de la chance les organisateurs ont un autre terrain en reserve.... C'etait certain que la mairie n'aurait pas eu le temps d'amenager le truc en une semaine...
Faut trouver un autre lieu! Apres tout, ok pour travailler avec les prefs si les choses sont fluides! mais sinon on fait sans eux!

bonjour chouchou clair...je leur souhaite de trouver une alternative....